Flan à la noix de coco
Ce que nos enfants pensent de nous… Après le Chapitre 1, qui aurait pu s’intituler « Ma mère est prof, ça craint», voici le Chapitre 2 : « Les années 80, c’était quand même trop chelou ».
Ils n’en reviennent pas, nos ados : comment les quadras
que nous sommes ont-ils pu sortir plus ou moins indemnes (du moins, en
apparence) de cette période difficile ?
Car nous avons quand même subi quelques calamités majeures, il faut bien le reconnaître : l’avènement des épaulettes amovibles, qu’on coinçait sous la bretelle du soutien-gorge (si si, rappelez-vous : toutes les filles ressemblaient à des joueuses de foot américain), du pull « chauve-souris » (y compris pour les garçons), de la mèche crêpée (façon Bananarama, avec les créoles qu’on aurait dit des bracelets – Liliane Bettencourt doit sans aucun doute une grosse partie de sa fortune aux fashion victims que nous étions alors ; il flottait en permanence une odeur de laque dans les toilettes de l’école), de la ceinture banane (avec des pin’s dessus, la claaasse!), … Et puis tous ces chanteurs dont il est aujourd’hui charitable de taire le nom (et salutaire d’oublier pour toujours le message) ; non, franchement, ça fait trop pitié, on ne peut pas leur donner tort.
Car nous avons quand même subi quelques calamités majeures, il faut bien le reconnaître : l’avènement des épaulettes amovibles, qu’on coinçait sous la bretelle du soutien-gorge (si si, rappelez-vous : toutes les filles ressemblaient à des joueuses de foot américain), du pull « chauve-souris » (y compris pour les garçons), de la mèche crêpée (façon Bananarama, avec les créoles qu’on aurait dit des bracelets – Liliane Bettencourt doit sans aucun doute une grosse partie de sa fortune aux fashion victims que nous étions alors ; il flottait en permanence une odeur de laque dans les toilettes de l’école), de la ceinture banane (avec des pin’s dessus, la claaasse!), … Et puis tous ces chanteurs dont il est aujourd’hui charitable de taire le nom (et salutaire d’oublier pour toujours le message) ; non, franchement, ça fait trop pitié, on ne peut pas leur donner tort.
Mais le pire n’est peut-être pas ce dont nous avons dû nous
accommoder… Le pire, c’est ce dont nous avons été privés, tout simplement parce
que ça n’existait pas encore.
Imaginez : un monde sans smartphone / IPod / tablette…
un monde sans WIFI ! Non mais AU SECOURS, quoi ! Pour
communiquer avec les copains après les cours autrement qu’en vis-à-vis, c’était
Koh-Lanta ; il fallait :
(1) demander aux parents la permission
d’utiliser l’unique téléphone familial (doublement scandaleux, c’est
clair ; à notre époque, on ne voit plus guère ça qu’en prison, et encore);
(2) composer le numéro (il n’y avait pas de répertoire pré-programmé, c’est dingue, hein ?) en faisant tourner un cadran (oui oui, comme dans les films);
(3) faire court, car les communications étaient encore relativement coûteuses (il fallait aller à l’essentiel, et, surtout, avoir une raison de téléphoner ; on croit rêver…);
(4) tolérer qu’il y ait d’autres personnes dans la pièce (pas possible de s’isoler, les téléphones étaient encore connectés au réseau par un fil branché dans une prise ; la préhistoire, quoi);
(5) et carrément faire des phrases, avec des mots et tout (ben oui, ❤❤❤ ou WTF ça n’aurait pas donné grand-chose avec l’oralité comme unique canal de communication…).
(2) composer le numéro (il n’y avait pas de répertoire pré-programmé, c’est dingue, hein ?) en faisant tourner un cadran (oui oui, comme dans les films);
(3) faire court, car les communications étaient encore relativement coûteuses (il fallait aller à l’essentiel, et, surtout, avoir une raison de téléphoner ; on croit rêver…);
(4) tolérer qu’il y ait d’autres personnes dans la pièce (pas possible de s’isoler, les téléphones étaient encore connectés au réseau par un fil branché dans une prise ; la préhistoire, quoi);
(5) et carrément faire des phrases, avec des mots et tout (ben oui, ❤❤❤ ou WTF ça n’aurait pas donné grand-chose avec l’oralité comme unique canal de communication…).
Bref, on ne téléphonait qu’en cas d’urgence, c’est-à-dire
quand on avait un problème dans un cours ou pour prévenir qu’on ne serait pas
présent le lendemain… Et on croyait qu’on avait une vie ;-)
Un flan à la noix de coco, voilà au moins qui mettra toutes les générations d'accord;-)
Source: Sucrissime
Ingrédients:
Un flan à la noix de coco, voilà au moins qui mettra toutes les générations d'accord;-)
Source: Sucrissime
Ingrédients:
- 1 boîte de lait concentré sucré (400g)
- le même volume de lait
- 125 gr de noix de coco râpée
- 3 oeufs
- 1 sachet de sucre vanillé
- caramel liquide (maison ou du commerce)
Préchauffez le four à 200°.
Versez le lait concentré sucré dans un saladier. Remplissez la boîte vide avec du lait et versez-le dans le saladier. Ajoutez les jaunes d'oeufs, le sucre vanillé et la noix de coco.
Montez les blancs en neige. Ajoutez-les au mélange précédent et mélangez délicatement.
Versez un peu de caramel liquide dans le fond d'un moule à cake. Versez le contenu du saladier, et faites cuire au bain-marie pendant 40 minutes. Si le dessus du flan dore trop vite, couvrez-le d'une feuille de papier aluminium.
Laissez complètement refroidir et réfrigérez plusieurs heures. Démoulez bien froid (c'est très important).
Bonne dégustation!
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Gros bisous!